De quoi ça parle ? (suite)

La quatrième de couverture : 



« Une règle établie malgré moi, comme un contrat moral : ne pas devenir un voyeur comptable, un maniaque de l’inventaire, un fétichiste de l’intimité. Je ne suis pas un renifleur de petites culottes, juste l’archéologue improvisé de nos vies fantômes. »

Un homme pénètre chez vous en votre absence. Il parcourt, effleure, hume, exhume, s'imprègne, explore, imite. Pendant quelques instants dont vous n'aurez jamais connaissance, il s'empare de ce qu'il reste de vous. Il prend votre place. Il vit votre vie. A moins qu'il ne vive enfin la sienne... Cette transgression le rendra complice de deux êtres qui, comme lui, vivent dans la présence des absents.
Par touches évocatrices, l'écriture de Cyrille Latour se saisit du réel pour en interroger les différentes interprétations. A la fois méditatif et haletant, ce roman ouvre les portes de territoires inconnus et invite chacun à se laisser gagner par la possibilité du doute.

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